SUZUKI MUSIC/MUSIQUE CANADA
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Conférence de l'Association Suzuki de l'Ontario 2019

1/13/2020

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Le point de vue d’un parent
Sarah Hensen, une ancienne élève de violoncelle Suzuki de Kingston, a récemment participé à conférence de l’Association Suzuki de l’Ontario et a partagé ses réflexions avec Karen-Michelle Kimmet:
Ma fille fréquente l’Institut Suzuki de Montréal et l’Institut du Sud-Ouest de l’Ontario depuis l’âge de 6 ans. L’été dernier, en raison de conflits d’horaire, elle n’a pu participer à aucun des deux.   Ainsi, quand l’occasion de participer à la conférence de l’Association Suzuki de l’Ontario à Guelph s’est présentée, nous étions tous les deux ravis.
Mon coup cœur à la conférence: 
On n’apprend pas par nous-mêmes, mais au sein d’une communauté. En arrivant à l’atelier, nous avons croisé Paule Barsalou qui s’est exclamée, en voyant Mirren: « Mirren! Je suis si heureuse de te revoir. Grand dieu que tu as grandi. » Pour moi, en tant que parent, ce fut très touchant de constater que les enseignants se souviennent de nos enfants d’année en année. C’était merveilleux d’observer cette camaraderie  et de se trouver en un lieu où tous se sentent à l’aise. Bien que Mirren était la seule élève de Kingston présente à la conférence, je me suis rapidement rendu compte que sa rencontre avec d’autres jeunes, tous souriants et heureux d’être présents, la mise à l’aise même si elle ne les a jamais rencontrés auparavant.
Pour ma part, la conférence des parents de Teri Einfeldt, m’a inspiré. Elle m’a rappelé, comme parent, que nous ne sommes pas seules. Il m’a été utile de constater que les parents ont tous des défis à relever, que chaque enfant apprend différemment et que dans un monde où tout est si compétitif — même quand les gens essaient de ne pas l’être — la méthode Suzuki nous permet d’avancer à notre propre rythme. 
La Journée Étudiante SAO2019 a répondu au-delà de toutes les attentes de Mirren et de moi-même. Cela valait la peine de faire cinq heures de route de Kingston pour y assister et nous sommes impatients de participer à la Conférence2020 de la SAO à Kingston !  
Notes d’entrevue compilées par Karen-Michele Kimmett

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2e Congrès des formateurs d'enseignants Suzuki 2019

1/13/2020

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Madrid, Espagne

par Paule Barsalou - Guelph, Ontario

Le Canada était bien représenté au 2e Congrès international Suzuki des formateurs d’enseignants 2019 à Madrid en octobre. Les Canadiens présents étaient Paule Barsalou, Wan Tsai Chen, Carey Alain Cheney, David Evenchick, Susan Gagnon, Dorothy Jones, Sharon Jones, Joanne Martin, Alice Anne O’Neil, Kelly Williamson et Nicole Wilton.  Margaret Parkin, Instructeur de violon à l’ESA était également présente.

Le format de la formation des enseignants dans chaque région et la réciprocité entre les régions ont fait l’objet de plusieurs sessions. On trouve les détails sur la réciprocité entre la SAA et l’ESA dans le manuel de formation des enseignants de l’ESA : http://www.digital-e-brochures.com/EuropeanSuzuki/TTraining2018/30/

Dorothy et Sharon Jones ont présenté une séance sur l’éducation préscolaire Suzuki.

Kelly Williamson a présenté une session intitulée Time to Stretch ! Formation des enseignants dans une nouvelle région, où elle a partagé son expérience de l’enseignement en Amérique latine.

Paule Barsalou a participé à une table ronde intitulée Suzuki Teacher Training in Universities, aux côtés de Kathleen Springs de l’Université du Colorado et de Veerle Van Gorp, Wim Meuris et Wilfried Van Gorp de AP School of Arts à Anvers, Belgique. Elle a partagé son expérience de l’élaboration d’un nouveau programme de formation à long terme des enseignants dans le cadre d’une collaboration entre la Suzuki String School of Guelph et l’Université Wilfrid Laurier à Waterloo, en Ontario.

Karen-Michèle Kimmett s’est jointe à la conférence via Skype et a pris la parole lors d’un panel intitulé Suzuki Teacher Training in Diverse Environments, aux côtés d’Eduardo Ludueña (qui a parlé de la formation des professeurs de violon en Amérique Latine), Helen Brunner (qui a discuté sa récente expérience dans la formation des professeurs de violon en Russie) et Carmencita Arámbulo (qui a discuté ses expériences en tant que formateur d’enseignants  de piano dans les Phillipines).  Karen a partagé son expérience dans la formation de professeurs de violon en Afrique du Sud et au Zimbabwe en collaboration avec les formateurs Martin Rüttimann et Christophe Bossuat.

Joanne Martin a pris la parole sur un panel intitulé Suzuki Teacher Training--Then and Now, aux côtés de Judy Bossuat-Gallic, Christophe Bossuat, Akira Nakajima, Sven Sjörgren, et Tanya Carey.  Joanne a décrit son expérience en tant que pionnière de la formation d’enseignants Suzuki au Canada.

Carey Cheney, David Evenchick, Susan Gagnon et Margaret Parkin ont chacun été chargés de la tâche délicate de diriger des discussions telles que les Objectifs du 1er cahier et les examens et l’évaluation, Suzuki in Universities and Mentoring Teacher Trainers, et les Procédures et défis de réciprocité auxquels les formateurs d’enseignants Suzuki sont confrontés. Ce n’était pas loin du type d’échanges que l’on entendent  aux Nations Unies !  Bravo à ce quatuor pour leur tact et leur diplomatie dans la gestion de ces discussions.
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Un grand merci aux formateurs d’enseignants Martin Rüttimann et Carey-Beth Hockett pour leur vision dans l’organisation de cette merveilleuse conférence.
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Enrichissement pour deux enseignantes Suzuki canadiennes

1/13/2020

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par Gail Lange - Guelph, Ontario

Les enseignants et enseignantes Suzuki apprécient leur communauté! Ainsi, lorsque deux professeures Suzuki se sont croisées dans des circonstances inhabituelles—une croisière musicale sur le Rhin—il y a eu un lien instantané. Laissez-moi préparer le terrain.

Au cours de la dernière année, deux festivals de musique canadiens—le Parry Sound Festival et le Ottawa Chamberfest—ont commandité une incroyable croisière musicale sur le Rhin au début octobre. Le programme a été coordonné par George Zukerman, imprésario et directeur musical de Special Travel International (STI) de Vancouver, en collaboration avec STI Tourist Services de Vancouver. Deux jours de concerts à Amsterdam, suivis de deux jours d’événements musicaux à Zurich, dont un ballet à l’Opéra de Zurich, ont précédé la croisière. 

Le nom de Diana Nuttall, professeure de violoncelle Suzuki d’Edmonton, et le mien, Gail Lange, professeure de piano Suzuki de Guelph, étaient sur la liste de passagers envoyée aux participants avant la croisière. Ayant toutes deux remarqué le nom de notre collègue, nous nous sommes cherchées au premier dîner de bienvenue. Par la suite, nous avons trouvé d’autres occasions pour partager nos points de vue sur l’enseignement Suzuki et la Méthode Suzuki au Canada—sans parler de la politique en Alberta et en Ontario! Nos conjoints ne se sont pas fait prier pour trouver autre chose à faire pendant ces conversations!

La tournée a été marquante pour les musiciens et les amateurs de musique. Le directeur artistique d’Ottawa Chamberfest et violoncelliste du Trio Gryphon, Roman Borys, était à bord avec son trio. Un Steinway Hambourg attendait les musiciens. Comme le clarinettiste et directeur artistique du Parry Sound Festival James Campbell était de la partie, le programme mettait aussi en vedette des œuvres pour violoncelle, clarinette et piano, ainsi que des œuvres pour d’autres combinaisons d’instruments. Les fins de soirée au salon se terminaient parfois par des jam-sessions animées par le guitariste et compositeur jazz Graham Campbell. Lors de notre dernier jour sur le navire, Campbell et les autres musiciens ont interprété «Rhine Rhapsody», une pièce que Campbell a composée pour l’occasion.
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Quoi de plus idyllique que de remonter le Rhin en écoutant Mozart dans un salon aux larges baies vitrées qui permettent de contempler le paysage enchanteur des deux côtés du fleuve? Chaque jour laissait place aux excursions dans les villes à proximité telles que Heidelberg et Strasbourg. L’arrêt le plus mémorable, cependant, fut celui à Bonn, où nos musiciens ont donné un concert dans une salle de concert attenante au lieu de naissance de Beethoven. Bonn est en mode préparation pour le 250e anniversaire de Ludwig en 2020, mais nous avons été chanceuses d’être là d’avance! Bien sûr, Diana et moi avons chacune fait prendre une photo devant la statue de Beethoven sur la place principale.
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Nos musiciens canadiens lors d'une répétition au salon
Petit clin d’oeil: Diana et moi avons trouvé un magasin de musique formidable, “MusikHug”, à Zurich, notre arrêt post-croisière. Il y avait là un étage complet de violoncelles, et un autre de pianos et de harpes. Dommage que rien ne rentrait dans nos valises ! 
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Avis aux intéressés:  Le Trio Gryphon fera une croisière musicale sur le Danube avec Ama Viola d’Ama Waterways en septembre prochain. Nous serons aux aguets!
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Programme du Quatuor de l'Association Suzuki d'Oakville

1/13/2020

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par Jean Grieve - Oakville, Ontario

L’an dernier, dans le cadre de notre programme Suzuki d’Oakville, nous avons découvert qu’il n’y avait pas assez d’étudiants de dernière année qui étaient inscrits dans notre association (au-delà du 4e cahier) pour diriger nos groupes avancés de violon. Nous avons décidé d’offrir un programme de quatuor où chaque groupe organise les répétitions avec un enseignant à un moment où tout le monde peut  se débrouiller de se réunir pendant environ 18 répétitions dans l’année. 

À notre grande surprise, un grand nombre d’étudiants se sont inscrits et nous avons formé huit quatuors, tous inscrits chez Oakville Suzuki. Nous avons choisi deux pièces que tout le monde pouvait  jouer ensemble lors de notre Senior Concert de Noël , et nous avons organisé une masterclass spéciale avec Witold Swoboda en avril où chaque groupe a interprété une pièce classique. Plusieurs des quatuors ont  également joué dans des festivals et des résidences pour personnes âgées. 
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Les quatuors les plus réussis étaient ceux où les étudiants étaient déjà amis, et ils se sont inscrits à nouveau en septembre. Nous avons maintenant cinq groupes, mais l’un d’eux n’a pas réussi à trouver un enseignant à un moment où les étudiants  peuvent se réunir. C’est l’un des plus gros problèmes lorsque les parents, les enseignants et les étudiants  sont très occupés.  Cependant, il ne fait aucun doute, que nous continuerons d’offrir cette option à nos étudiants  avancés.
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L'esprit d'entrepreneuriat

6/28/2019

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par Flory Godinez - Creston, Colombie-Britannique

“Nous sommes canadiens—nous pouvons le faire”
Cette idée de relever le défi est ce que j’ai vu de mes élèves d’instrument à cordes Suzuki.

Lorsque nous avons déménagé dans la vallée de Creston il y a trois ans pour la retraite de mon mari, je, en tant que professeure Suzuki américaine, n’avait aucune idée de ce qui nous attendait sur le plan musical.

Les professeurs d’instrument à cordes de la région m’ont invité à prendre un café et j’ai appris qu’un professeur de violon prenait sa retraite, un autre déménageait dans les Maritimes, et les deux autres réduisaient leurs studios.

Soudain, j’ai eu un studio allant du débutant au cahier Suzuki numéro 8. En travaillant avec les parents et les enfants sur la sonorité, la technique et l’interprétation, j’ai eu l’occasion de développer davantage leurs compétences en déchiffrage.

Nous sommes passés de la lecture visuelle séquentielle à de petits ensembles. Puis, avec l’ajout de l’alto et du violoncelle, nous sommes passés à la musique d’orchestre graduée. J’ai une bibliothèque orchestrale des écoles américaines organisée par niveau. Ces niveaux ne se réfèrent pas au système du Conservatoire Royal de Toronto. 
  • Je me demande s’ils peuvent jouer en première année. Ils peuvent le faire !
  • Peuvent-ils se débrouiller en 1ère année et demie? Oui, c’est possible !
  • Avec l’instruction, peuvent-ils maîtriser les niveaux 2 et 2 ½? Oui, ils peuvent le faire !

Chaque fois que j’ai présenté un nouveau défi technique, ces jeunes et leurs parents de la belle communauté rurale de Creston Valley ont dépassé mes attentes.
En août de l’année dernière, Anita Stushnoff, chef des 82 voix Blossom Valley Singers, m’a approché pour accompagner la chorale de la communauté lors de leur week-end de trois concerts intitulé “A Celtic Christmas”.

Une pièce était très facile et en dessous du niveau des élèves. L’autre orchestration était non-idiomatique pour les cordes et nécessitait une réécriture. Encore une fois, c’est l’esprit ” canadien ” qui l’a emporté et ils ont joué à merveille. Le Creston Valley Youth Orchestra était né !

Quelle est la valeur d’un orchestre de jeunes pour un programme Suzuki ? Au cours de mes deux années d’études avec le Dr Suzuki au Japon, j’ai également observé l’imposant orchestre étudiant de M. Yamashita à Suwa City. J’ai donc appris l’existence d’un précédent pour un orchestre dans le cadre d’un programme Suzuki au Japon.
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Alors que les élèves atteignent les premières années cruciales de l’adolescence, alors que beaucoup d’entre eux abandonnent la musique, un orchestre d’élèves est une équipe musicale puissante qui peut captiver l’amour et le désir de faire de la musique avec des amis de longue date.

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Camp musical de Durham: célébration de la cinquième année à l'est de Toronto

6/28/2019

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par Laurie Mitchell - Durham, Ontario

Il y a des avantages et des inconvénients à vivre à l’extérieur d’une grande ville. Les enseignants à l’est de Toronto ont travaillé ensemble pour créer un programme d’été abordable dans notre propre région, pour éviter de faire de longs trajets en voiture. Il est étonnant de voir combien les élèves comme les enseignants peuvent apprendre en une semaine et ceci s’accompagne de gains de motivation à long terme! http://www.durhammusiccamp.com

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Un Flash Mob Suzuki pour les élèves!

6/28/2019

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par Mélanie Grenier - La Jacques-Cartier, Québec

En mai 2018, 50 violonistes et violoncellistes du groupe Jeux d’Archets Suzuki ont vécu leur premier Flash Mob. Des élèves débutants à très avancés entre 3 à 20 ans y ont participé. 

L’idée de leur faire vivre une telle expérience vient de ma philosophie de toujours chercher à faire vivre des expériences stimulantes, variées et riches de façon pédagogique à mes élèves. Ayant participé à un regroupement d’artistes de ma région, j’ai réalisé le potentiel et la variété d’endroits possibles pour une telle activité, en plus de pouvoir entremêler les activités culturelles et économiques de la région.

J’ai commencé mes démarches en approchant ma ville pour solliciter leur appui. Notre MRC de La Jacques-Cartier nous a fourni les fonds nécessaires pour deux autobus. Le premier nous a servi toute la journée pour les plus vieux, et l’autre en avant-midi pour les plus jeunes et leurs parents. 

J’ai mis beaucoup de temps et d’efforts pour préparer l’événement. Il fallait contacter tous les établissements, noter les contraintes d’espace, de temps, faire un itinéraire, recontacter tout le monde… organiser la logistique de la journée auprès des élèves et des familles, faire le choix du répertoire qui devait tout être joué de mémoire… 

Et nous espérions de tout cœur une journée où il ferait beau!

Nous avons joué à différents endroits : parvis d’église, journée de l’environnement, supermarché, terrain de golf, boulangerie, terrains d’un manoir, dans un restaurant réputé pour leurs bons brunchs, dans un hôtel, dans un parc de la ville… À quelques reprises j’ai séparé le groupe en 2-3 groupes pour différentes prestations. Les plus vieux permettaient une certaine flexibilité au niveau du répertoire quand ils étaient seuls en après-midi. L’énergie et le dynamisme étaient à leurs meilleurs! Les étudiants étaient pratiquement autonomes vers la fin de la journée !
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Les gens que nous avons surpris étaient émus, attentifs et en voulaient encore… Les commerçants ont presque tous été accommodants et ont embarqué dans cette belle aventure avec un réel intérêt. Les jeunes pour leur part, particulièrement les plus vieux, ont eu un « blast »! Ils ont tellement aimé cela qu’ils ne rangeaient pas leurs instruments d’une place à l’autre et jouaient sans arrêt dans le bus. Certains commençaient des pièces et les autres suivaient, les jeunes lançaient l’idée d’une pièce, les autres embarquaient! Le répertoire Suzuki y est passé en plus de répertoire complémentaire tel le Canon de Pachelbel, Tzena, leur répertoire de groupe… Environ 6 heures de violon pour eux cette journée-là, et ils ne voulaient pas s’arrêter !
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Enseignants, soufrez-vous de l’Anxiété du Practicum!?

6/28/2019

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par Gail Lange - Guelph, Ontario

Voici ce que les anciens participants ont à dire au sujet de leurs expériences et à quel point ils ont bénéficié du Practicum.
Est-ce angoissant de faire des vidéos de votre enseignement et de les montrer à d’autres enseignants ?
 
  • L’auto-réflexion était plutôt amusant et révélateur ! 
  • Je pense que j’ai découvert plus de choses à aimer sur moi-même et sur mon enseignement que ce à quoi je m’attendais. 
  • Devenir vulnérable, se défaire de son ego, laisser ses forces et ses faiblesses être observées et commentées par les autres est très utile. 
  • Il y a eu des observations spécifiques pendant le cours auxquelles j’ai pensé à chaque leçon cette année.
  • Faire des vidéos de mon enseignement à domicile m’a fait réaliser à quel point il peut être un outil incroyable pour examiner nos propres méthodes et notre efficacité. Je n’avais pas réalisé à quel point j’utilisais certaines techniques jusqu’à ce que j’aie eu l’occasion de m’observer en train d’enseigner. 

Et la leçon sur place en classe ? 
  • J’étais déçu de mon enseignement sur place, mais les autres participants étaient si positifs, ils m’ont aidé à voir ce que j’avais bien fait. L’atmosphère de soutien a été une aide importante pour moi. 
  • J’ai vraiment apprécié les listes de choses spécifiques à rechercher ou à trouver dans une leçon réussie—c’était comme une chasse au trésor…

Pouvez-vous identifier un aspect de votre enseignement qui a changé depuis que vous avez suivi le cours ? 
  • J’ai appris à encourager l’élève à s’écouter dès le début et à s’autoévaluer: son, rythme, notes, est-ce que c’est comme le CD, etc? 

Surmonter l’anxiété du Practicum! ne peut pas être surestimé !
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Vous deviendrez un enseignant plus sûr de soi, plus efficace et plus heureux.
Conquérez vos peurs, faites le saut et inscrivez-vous dès la première occasion.

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De l’intérieur vers l’extérieur : Comment développer une belle sonorité à la maison

6/28/2019

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par Dre Mary-Elizabeth Brown - Montréal, Québec

“À beau cœur, belle sonorité” est l’une des citations les plus emblématiques du Dr Suzuki. La quête d’un son résonnant et chantant est à la base de chaque leçon Suzuki, mais comment pouvons-nous aider à l’enfant à poursuivre le développement de ce beau son entre son dernier coup d’archet et sa prochaine leçon?

PARLEZ-EN !

Choisissez un moment où vous êtes à la fois détendus et loin de vos violons pour écouter ensemble (la voiture est un bon point de départ).
Écoutez un enregistrement favori (il pourrait même s’agir d’un de vos morceaux Suzuki). Utilisez le guide ci-dessous pour entamer une discussion avec votre enfant, en vous rappelant qu’il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses.
  • Qu’est-ce qui vous plaît dans le son que vous avez entendu ?
  • Quels mots utiliseriez-vous si vous deviez en parler à des grands-parents?
  • Y a-t-il quelque chose que vous n’avez pas aimé dans le son ?

Notez les mots et les idées de votre enfant pour les utiliser plus tard. Si vous aimez faire de l’artisanat ensemble, essayez d’utiliser les mots de votre enfant pour créer une œuvre d’art à exposer dans votre espace de pratique!

N’ayez pas peur de répéter cet exercice à mesure que votre enfant grandit et devient plus mature. C’est agréable de voir leurs oreilles se développer. De telles discussions peuvent être un bon moyen de construire des ponts en découvrant les idées de chacun.

EN PRATIQUE

Tonalisation
La tonalisation nous invite à porter l’attention sur la production d’un beau son. Avant de jouer, prenez quelques secondes avec votre enfant pour imaginer le son qu’il ou elle veut produire. Utilisez les mots de votre discussion pour l’aider à évoquer ses souvenirs. Rappelez-vous: la formation du son commence à l’intérieur et va vers l’extérieur. Une fois que vous avez établi une idée du son avec votre enfant, invitez-le à jouer l’exercice jusqu’au bout et à s’auto-évaluer : « Est-ce que cela ressemblait au son que tu avais imaginé ? Comment le changerais-tu? » Les discussions positives et collaboratives encourageront votre enfant. Les jugements dures et sévères peuvent être démotivants.

Revue
Notre répertoire de revue nous donne accès à une bibliothèque de belle musique que nous maîtrisons et jouons avec aisance. Lorsque les défis techniques ont été surmontés, nous sommes plus disposés à écouter, à entendre, à s’auto-évaluer et à apporter des changements positifs dans notre quête quotidienne d’une belle sonorité.
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Pièces de travail
Les pièces de travail présentent de nouveaux défis qui demandent de la concentration, mais l’idée d’une belle sonorité ne devrait jamais être loin de nos esprits en tant que parents et professeurs. Tout en étant attentifs de ne pas « inonder » l’élève, nous devons continuer à chercher des occasions pour encourager le beau son. Par exemple, quand un passage devient confortable à jouer, nous pouvons proposer le défi supplémentaire de jouer l’extrait avec une belle sonorité.
Pour tous les musiciens, même pour le plus jeune violoniste, la sonorité est étroitement liée à l’identité personnelle. Le travail sur le son exige donc de la sensibilité de la part de l’adulte ou des adultes qui travaillent avec l’enfant. Par la discussion, l’écoute active, l’auto-évaluation et les encouragements constants et doux, nous pouvons cultiver une belle sonorité tout au long de la semaine.

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Suzuki Music à la bibliothèque: Amener la classe de groupe en ville

6/28/2019

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par Alexandra Lee - Nanaimo, Colombie-Britannique

J’ai eu l’immense plaisir de faire ma formation Suzuki au Chicago Suzuki Institute. La communauté Suzuki y est florissante et en constante expansion. Le nombre de familles Suzuki au CSI est stupéfiant. C’était une expérience incroyable de voir comment une communauté Suzuki peut être une telle réussite. 

Après ma formation, j’ai déménagé en Colombie-Britannique et j’enseigne maintenant le violoncelle au Nanaimo Conservatory of Music. Ici, comme dans de nombreuses communautés en dehors des grands centres urbains, le programme Suzuki est encore très modeste. Je suis souvent moi-même “ambassadrice” de la méthode Suzuki – j’éduque et je défend la méthode et, dans certains cas, je la démystifie.

Beaucoup de gens dans notre communauté ne connaissent pas encore la méthode Suzuki, il n’est donc pas surprenant qu’ils ignorent souvent l’existence du programme Suzuki au Nanaimo Conservatory of Music. L’un de mes objectifs depuis que je me suis jointe à l’équipe de professeurs est de donner plus de visibilité au programme Suzuki. J’ai commencé avec une initiative que j’appelle “Suzuki Music at the Library”. (Étant donné qu’un autre Dr Suzuki bien connu—le Dr David Suzuki, célèbre pour son travail d’activiste environnemental—est originaire de la Colombie-Britannique, j’ai mis exprès “Suzuki Music at the Library” pour éviter la confusion chez les écologistes locaux).

Notre événement est un mélange de récital, de conférence et de cours collectif. Nos élèves (violon, alto, violoncelle, flûte et piano) ont la possibilité d’interpréter des pièces en solo ou en ensemble. Entre les représentations, les professeurs Suzuki donne de brèves conférences sur différents aspects de la méthode- philosophie, avantages et aspects pratique. Surtout, “Suzuki Music At The Library” présente des exemples de jeux en cours collectifs.

Le cours collectif est l’un de mes éléments préférés de la méthode Suzuki. C’est une façon si joyeuse d’apprendre ensemble. Des jeux de groupe classiques tels que “Passez la note” ou “Suivez le leader” sont éclairants pour les gens non-Suzuki. Je pense qu’en voyant ces enfants s’amuser avec des compétences musicales sophistiquées, le public pourra mieux apprécier les avantages de la méthode Suzuki.
La réponse de nos familles Suzuki au nouveau programme de la bibliothèque sont très positive. Ils apprécient que leurs enfants aient de nouvelles expériences et de nouvelles occasions de jouer en public. Le personnel de la bibliothèque se réjouit de la réaction et de l’appréciation du public à l’égard de la musique « live » dans cet espace communautaire. Voir les enfants s’amuser et créer de la musique ajoute beaucoup à l’esprit d’une communauté.
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Je suis sure que chaque enseignant a sa propre façon d’aider la méthode Suzuki à devenir plus visible dans sa communauté. Mon partenariat avec la Nanaimo Harbourfront Library a certainement été un énorme succès et je vous encourage tous à faire de la musique partout où vous le pouvez !

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